PRÉCOMMANDES jusqu’au 10 octobre 2025

Le livre existe en trois versions permettant de mettre en avant l’univers visuel de chaque photographe lauréat.

« BATTERED WATERS » : ANUSH BABAJANYAN

« BATTERED WATERS » : ANUSH BABAJANYAN

« PÉROU, UN ÉTAT TOXIQUE » : ALESSANDRO CINQUE

« PÉROU, UN ÉTAT TOXIQUE » : ALESSANDRO CINQUE

«LIGHT BETWEEN MOUNTAINS » : EMILY GARTHWAITE

«LIGHT BETWEEN MOUNTAINS » : EMILY GARTHWAITE

VOIR LE MONDE EN FACE — Prix Photo CCFD - Terre Solidaire 2022-2024

Anush Babajanyan, Alessandro Cinque, Emily Garthwaite

PRÉCOMMANDES JUSQU’AU 10 OCTOBRE : 32€ AU LIEU DE 38€

Voir le Monde en face présente les lauréats de l’édition 2022-2024 du Prix Photo CCFD-Terre Solidaire, Anush Babajanyan, Alessandro Cinque et Emily Garthwaite

CCFD-Terre Solidaire, ONG de solidarité internationale, a créé ce Prix international pour la photographie humaniste et environnementale, avec le soutien de Sebastião Salgado, président d’Honneur.

À la croisée du monde de la photographie et de celui de l’engagement, ce prix se distingue par son ambition : faire de chaque image une invitation à comprendre notre monde et à relever les défis pour construire une terre solidaire et durable.

Dans cet ouvrage vous pourrez retrouver un témoignage de Sebastião Salgado, Président d’Honneur, les séries primées ainsi que la suite des documentaires que le prix à permis de réaliser.

La direction artistique à été confiée au studio Pilote Paris qui à posé les bases d’une collection forte avec des partis-pris graphiques radicaux qui mettent en avant la variété des regards sur le Monte.

Le livre existe en trois versions permettant de mettre en avant l’univers visuel de chaque photographe lauréat.

« BATTERED WATERS » : ANUSH BABAJANYAN

Au Kazakhstan et en Ouzbékistan, la mer d’Aral continue de disparaître sous le regard impuissant des peuples qui en dépendent. Lauréate du Prix Photo Terre Solidaire pour son documentaire “Battered Waters“, Anush Babajanyanphotographe arménienne membre de l’Agence VII, témoigne de la résilience des populations d’Asie centrale contraintes de s’adapter à leur environnement bouleversé.

À travers cette narration visuelle, elle témoigne de la crise de l’eau en Asie centrale, auxquels s’ajoutent des problématiques environnementales qui affectent les 67 millions de personnes de cette région enclavée. Du Kazakhstan au Tadjikistan, en passant par l’Ouzbékistan et le Kirghizistan, Anush nous plonge au cœur de la magnificence des paysages et au plus près des populations de ces quatre pays, pour nous raconter l’histoire d’une région assoiffée et négligée.

«L’EFFONDREMENT DE L’UNION SOVIÉTIQUE AU DÉBUT DES ANNÉES 1990 A LAISSÉ LES PAYS D’ASIE CENTRALE AUX PRISES AVEC DES PROBLÈMES ENVIRONNEMENTAUX ET UN MANQUE DE COORDINATION AUTOUR DE L’EAU QU’ILS PARTAGEAIENT.»

Grâce aux Prix Terre Solidaire, Anush à poursuivre son travail au nord de l’Inde, dans l’état du Bihar, coule l’imprévisible rivière Kosi. Sur ses îles et ses rives instables vivent un million de personnes, à la merci des inondations et oubliées de tous. Aujourd’hui, les communautés de la rivière Kosi, soutenues par notre partenaire local Paridhi, veulent faire entendre leurs voix.

« PÉROU, UN ÉTAT TOXIQUE » : ALESSANDRO CINQUE

Alessandro Cinque, témoigne à travers son projet documentaire, « Peru : a toxic state« , des conséquences environnementales, sociales et culturelles causées par l’exploitation des ressources minières au Pérou. Fruit d’un voyage de six ans à la rencontre des communautés des Andes péruviennes, cette série nous livre le récit de leurs réalités et de leurs souffrances : celles de la violation de leurs droits, de la dégradation de leurs conditions de vie et de leur santé, du délitement de leur culture et de leur identité.

Actuellement basé à Lima, Alessandro à poursuivis ce projet photographique, à la fois de manière documentaire et militante. Il témoigner des réalités similaires vécues par les communautés andines de Bolivie et d’Équateur. Il souhaite également éditer un livre photographique, traduit en langue quechua, afin de renforcer l’accès à l’information et de fédérer les communautés, autant que de sensibiliser la communauté internationale et d’encourager un dialogue sur les abus commis par les industries minières.

« TRAVERS LE PRISME DES NOUVELLES ET ANCIENNES MINES, CE PROJET PARLE NÉOLIBÉRALISME ET DU NÉOCOLONIALISME, EN TÉMOIGNANT DU MANQUE DE RESPECT DES DROITS HUMAINS DANS LES CAMPAGNES PÉRUVIENNES. »

«LIGHT BETWEEN MOUNTAINS » : EMILY GARTHWAITE

La photographe britannique, Emily Garthwaite, présente « Light Between Mountain« réalisé au Kurdistan irakien. Dans un territoire complexe et fragmenté par une succession de conflits, elle témoigne de la résistance du mode vie pastoral, des traditions et des croyances. Depuis 2019, elle sillonne les montagnes kurdes, traversant des zones de mémoires, de traumatismes et de fragilités environnementales. En écrivant l’histoire des bergers, agriculteurs, combattants et pèlerins rencontrés au grès de son parcours, elle donne à voir « l’autre Irak », celui où l’émerveillement, la quête et le renouveau prime sur la guerre.

Le journalisme lent et « le retour » sont deux approches au cœur de son travail. Grâce aux Prix Terre Solidaire, elle à poursuivis sa narration visuelle en s’intéressant davantage aux menaces environnementales, continuant sa marche aux côtés des « gardiens » de la terre et du folklore pastoral et religieux.

«CE TRAVAIL TÉMOIGNE D’UN MORCEAU D’HISTOIRE OUBLIÉE, ENGLOBANT UNE MYRIADE DE CROYANCES, D’IDENTITÉS ETHNIQUES ET DE PASSÉ LOINTAIN. C’EST UNE LETTRE D’AMOUR À MA MAISON. »

Le Prix Photo CCFD-Terre Solidaire

UN REGARD POUR COMPRENDRE, UNE IMAGE POUR AGIR

Le regard vert émeraude d’une jeune afghane, une mine où s’affaire une fourmilière humaine, la jeune

fille offrant une fleur aux soldats … Qui n’a pas été, un jour, interpellé par une photographie ?

Face à un monde fracturé par la multiplication des crises et l’exacerbation des antagonismes, nous, le CCFD-Terre Solidaire, organisation de solidarité internationale, lançons un appel à « Voir le monde en face ».

À travers cette thématique forte, notre Prix autour de la photographie humaniste et environnementale invite les photographes à dresser le portrait du monde qui nous entoure : fragile, mais toujours résilient.

Il invite le public à se confronter aux réalités vécues par autrui ; à les comprendre ; et à transformer son regard en action. C’est un véritable appel à s’ouvrir au monde et à aller plus loin, car nous croyons qu’un autre modèle de société est non seulement possible mais nécessaire.

« Voir le monde en face, c’est permettre à chacun.e de transformer son regard en action »

— CCFD-Terre Solidaire.

Le Jury

Le Prix Photo Terre Solidaire à été décerné par un jury d’exception, composé de personnalités au croisement du monde de la photographie et de celui de l’engagement. Avec la présence du Mali, du Canada et de la Suisse, ce jury se veut international et inclusif à l’image de l’ambition du Prix Photo Terre Solidaire.

Dimitri Beck (Polka Magazine) – Pierre Ciot (SAIF) – Cheick Diallo (Biennale de Bamako) – Cyril Drouhet (Figaro Magazine et Festival Photo de la Gacilly) – Emmanuel Fagnou (Prix Caritas) – Josianne Gauthier (CIDSE) – Nicolas Henry (PhotoClimat) – Nathalie Herschdorfer (Photo Elysée) – Isabelle de Lagasnerie (La Croix) – Dominique Rouyer (CCFD-Terre Solidaire) – Michel Tremblay (Zoom Photo Festival).


Photographies : Anush Babajanyan, Alessandro Cinque, Emily Garthwaite

Auteurs :

Direction artistique : Pilote Paris

Direction technique : Alain Escourbiac

Photogravure : Christophe Boënnec Escourbiac l’imprimeur

Relectures :

Édition originale : 32€ au lieu 38€ (jusqu’au 10 octobre)


ISBN :

Précommande : livraison novembre 2025

    • 168 pages

    • Photographies noir & blanc et couleur

    • 24 × 30 cm

    • Couverture souple, reliure apparente

    • Langue : Français

 

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